Vanson Bourne a effectué des recherches pour le compte de Nutanix pour la quatrième année consécutive en août et septembre 2021, en interrogeant 1 700 décideurs informatiques à travers le monde. Basée sur les réponses de 250 professionnels de l’informatique du secteur de la santé, cette recherche vient compléter le rapport global sur le quatrième annuel Enterprise Cloud Inde se concentre sur le déploiement du cloud et les tendances de planification dans ce domaine. Il se focalise sur les objectifs, les priorités et les expériences cloud des prestataires de santé, ainsi que sur les comparaisons de l’activité multi-cloud du secteur de la santé avec celle d’autres marchés et la base de réponse mondiale dans son ensemble.Les répondants provenaient de divers secteurs et zones géographiques, notamment les Amériques, l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA) et l’Asie-Pacifique Japon (APJ).
Les résultats de l’étude et de l’enquête mondiale Enterprise Cloud Index (ECI) de Nutanix, qui analyse les progrès des entreprises en matière d’adoption du cloud dans le secteur, ont été publiés. Selon les résultats, les entreprises de soins de santé semblent être aux premiers stades de l’adoption du cloud, à la traîne par rapport à la moyenne mondiale des répondants dans tous les secteurs. Au cours des trois prochaines années, cependant, l’adoption devrait passer de 27% à 51%, conformément à la tendance mondiale à passer à une architecture informatique multi-cloud qui comprend à la fois des clouds privés et publics.
“Le multi-cloud est là pour rester, mais la complexité et les défis demeurent car les réglementations déterminent de nombreuses décisions de déploiement informatique des organisations de santé”, a déclaré Joseph Wolfgram, directeur technique du secteur de santé chez Nutanix. “Peu importe où ils en sont dans leurs parcours multi-cloud, l’évolution vers une infrastructure informatique multi-cloud hybride qui s’étend sur un mélange de clouds privés et publics avec interopérabilité est en cours et nécessaire pour que les organisations de soins de santé réussissent.”
Selon le rapport, alors que 30% des répondants du secteur de la santé ont affirmé que le cloud privé était leur configuration informatique pour le moment, la migration vers le multi-cloud devrait augmenter de 27% à 51% au cours des trois prochaines années. Les orgainsations de santé seraient alignés sur l’opinion croissante selon laquelle une combinaison de clouds privés et publics pourrait être la meilleure solution si le multi-cloud devenait le modèle dominant de l’architecture informatique.
Quels sont les avantages d’un transfert vers un environnement multi-cloud ?
Le problème du retard de l’industrie était pratiquement universel parmi les personnes interrogées, la plupart d’entre eux convenant que la résolution du problème nécessitait une stratégie multi-cloud hybride pour préserver la sécurité, l’intégration des données, l’interopérabilité, la sécurité et les coûts. Au cours de l’année écoulée, chaque personne interrogée a déclaré avoir déplacé des applications vers ou depuis le cloud, citant la confidentialité et la sécurité des données comme principales raisons. Alors que presque tout le monde s’accorde à dire que le passage à un environnement multi-cloud serait utile à bien des égards, le secteur de la santé a mis du temps à accepter de tels changements en raison de normes réglementaires strictes.
Le multi-cloud est l’architecture informatique préférée pour diverses raisons, la plus fondamentale étant la flexibilité qu’elle offre. Voici quelques problèmes soulevés par ceux qui n’ont pas encore utilisé le multi-cloud :
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Intégrer des données de plusieurs clouds.
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Maîtriser les coûts.
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Les superpositions de réseau présentent des défis de performance.
Les principales priorités technologiques de l’industrie de la santé
Nutanix a identifié un certain nombre d’objectifs à la suite de ses résultats, car les soins de santé doivent améliorer leurs processus de données. Selon Nutanix, les principales priorités des entreprises de santé au cours des 12 à 18 prochains mois sont les suivantes :
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Utilisation des services 5G basés sur l’IA/ML.
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Accroître l’efficacité de BC/DR.
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Gestion multi-cloud.
L’épidémie de COVID-19 a également entraîné une approche plus proactive de l’investissement informatique, selon les répondants à l’enquête. En termes de dépenses informatiques, les catégories suivantes étaient les plus courantes :
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Amélioration de la sécurité du réseau
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Technologie libre-service basée sur l’intelligence artificielle
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L’infrastructure informatique existante est en cours de modernisation.
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